Voici l'histoire d'une petite soeur Thérésienne qui a beaucoup marqué le Mouvement Flamme d'Amour du Coeur Immaculé de Marie au RD Congo. On pourrait aussi ajouter qu'elle a fait aussi bonne impression auprès du Mouvement à travers le monde.
Le tout a débuté à Madagascar en novembre 2006 quand soeur Alvera nous a contacté pour recevoir de l'information concernant la Flamme d'Amour. Nous lui avons envoyé de la documentation et par la suite elle a redemandé davantage de livrets. C'est là que nous avons débuté une série d'envoi vers Madagascar. Nous recevions à ce moment de l'aide d'un bienfaiteur qui a aidé énormément.
Soeur Alvera recevait des locutions intérieures de la part du Seigneur Jésus qui la faisait cheminer. Par la suite, elle a reçu l'autorisation de sa communauté pour une année sabbatique.
Elle a donc utilisé ce temps pour retourner à Goma et s'occuper des enfants maltraités. Ayant trouvé une maison en location, elle l'a utilisé pour prendre quelques enfants à sa charge. Le nombre d'enfants à augmenté considérablement et des bénévoles se sont joint à l'entreprise pour aider dans différents domaines tel que l'infirmerie, la nourriture et l'enseignement pour les jeunes.
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Le Mouvement Flamme d'Amour a pris officieusement naissance à Goma avec soeur Alvera et l'entreprise de la petite communauté prenait de l'ampleur de jour en jours. Soeur Alvera allait voir les autorités ecclésiales catholique et demandait des permissions pour officialiser le Mouvement Flamme d'Amour. Dabord, le prêtre de la paroisse l'a beaucoup aidé et l'évêque lui demandait de faire ses preuves et de débuter lentement tout en priant avec le groupe. Après mûre réflexion, elle a par la suite quitté l'ordre des soeurs Thérésienne.
En 2017, Monseigneur Théophile Kaboy lui accordait un décret d'approbation du Mouvement Flamme d'Amour pour l'orphelinat Flamme d'Amour à Goma:
Ad experimentum au Diocèse de Goma, le Mouvement de la Flamme d'Amour conformément à la doctrine du Concile Vatican II, spécialement dans son décret sur l'apostolat des laïcs (no 2-3) et suivant le code du Droit canonique (C.298. 304), pour une période de trois ans.
Fait à Goma, 06/03/2017
Monseigneur Théophile Kaboy,
Évêque de Goma